Tag Archives: Chopin

De nuit, Chopin sous mon parapluie

Marcher sous la pluie m’est agréable. Surtout de nuit, lorsque les bruits de la ville disparaissent et laissent toute la place à la rêverie. Là, sous mon parapluie, c’est Chopin qui s’est invité. Nocturne N°1 en si bémol mineur opus 9. Je retournerai bientôt promener sous les gouttes.

Leave a Comment

Filed under son

Un peu de Chopin avant le train

J’ai bien failli louper mon train à cause de Chopin. Ce pianiste m’a captivé. Pas la première fois que je succombe au charme de Piano en gare. Là non-plus, je n’ai pu résister. Chopin, même avec quelques fausses notes – difficile de jouer sur un Steinway en gare – m’aimante et me transporte. Pour prolonger l’écoute, c’est par ici.

Leave a Comment

Filed under son

Cheminer à pas lents aux côtés de Rixile

Plus donné signe de vie depuis notre VaseCommunicant du début du mois, Rixile. N’étais pas inquiet. Me disais qu’elle avait sans doute plein de partitions à déchiffrer, à vivre et à jouer, la pianiste maîtresse de choeur. Et puis hier, ce très beau texte sur son blog. C’était un lent. Poème mélancolique. Un voyage en forme de rêve paisible où pointent quelques reflets d’un océan chagrin. La lenteur. Prendre le temps de s’échapper un peu du tourbillon. Tenter de. Savourer l’instant fugace. Plaisir de réciter ce lent survenu par surprise, en y mêlant Chopin. Choisi par elle sur Rixilement.

Nocturne en do dièse mineur (posthume).

Leave a Comment

Filed under son

Café du matin, Chopin

La pluie ce matin sur Marseille. Beaucoup. Levé tôt et je l’entends qui tape aux volets. Envie d’un café. Envie de m’amuser aussi. Inventé un nouveau dicton. Café du matin, Chopin.

Arthur Rubinstein joue les Nocturnes de Chopin, c’est par ici

Leave a Comment

Filed under son

Chopin pleure Pleyel

La nouvelle est tombée avant-hier. Pleyel va disparaître. Pleyel, vous vous rendez compte ? Oui, Pleyel, le dernier fabriquant de pianos en France. Le plus ancien fabriquant encore en activité dans le monde. Victime notamment de la concurrence asiatique. Pleyel, fondée en 1807 par le compositeur Ignace Pleyel va mettre la clé sous la porte de sa dernière usine, à Saint-Denis, d’ici à la fin décembre. C’est sur des pianos Pleyel que Frédéric Chopin composa la quasi totalité de son oeuvre. Il en appréciait la sonorité romantique. Voici l’Etude n°12 en do mineur Opus 25, interprétée par le pianiste anglais James Rhodes.
Je vous recommande vivement l’album Chopin chez Pleyel, paru l’an passé chez Harmonia Mundi.
Alain Planès y interprète 20 morceaux du maître, sur un piano Pleyel de 1836 identique à celui que Chopin joua pour son concert à Paris le 21 février 1842.
La disparition annoncée de Pleyel sur le site du journal l’Humanité et sur le site du Monde
Le site d’Harmonia Mundi

 

Leave a Comment

Filed under son

Le parking de la culture…

Marseille. Parking du Centre Bourse hier-soir. Une course à faire avant d’aller embrasser ma mère. Premier niveau. Je me gare, je sors de ma voiture et j’entends ça.
Je ne connaissais pas cette radio. Radio Vinci Park, première radio d’entreprise entièrement dédiée à la musique classique. Partenaire de Marseille Provence Capitale Européenne de la Culture 2013. Chopin en sous-sol. Mmmouais. Pourquoi pas après tout ? Cela sonne mieux à mes oreilles que Frédéric François ou Francis Lalanne. Et peut-être faut-il ça pour tenter de faire oublier le tarif du parking. Peut-être. Mais aucun morceau, fût-il de Chopin ou de Schubert ne pourra me faire oublier que depuis son lancement début janvier, en sous-sol comme au grand air, MP 3013 n’a pas daigné programmer la moindre note d’IAM. Ni la moindre lecture de Jean-Claude Izzo. Ni le moindre hommage à Arthur Rimbaud, qui mourut à Marseille en 1854, il y aura 120 ans demain. Faut-il rappeler aux organisateurs que depuis 2005, Vinci Park célèbre la poésie en s’associant au Printemps des poètes ?

Leave a Comment

Filed under son

Frédéric Chopin Marseillais

Il y a des cadeaux inoubliables et celui reçu récemment en est un : une nuit au Grand Hôtel Beauvau à Marseille, quatre étoiles somptueux aux chambres classieuses et vue imprenable sur le Vieux-Port. Ce présent, je l’ai d’autant plus savouré qu’il fut agrémenté d’un moment de grâce : la visite de la suite Frédéric Chopin. Suivez le guide,  Mélik Boukhris, employé de l’Hôtel, lui aussi impressionné  par l’endroit.

Frédéric Chopin arriva à l’Hôtel Beauvau en février 1839, accompagné de son amante George Sand, après un séjour aux Baléares. Il allait très mal, il souffrait d’hémorragie pulmonaire et avait besoin de repos. Le compositeur et sa compagne restèrent à Marseille jusqu’au mois de mai. Pendant trois mois, ils ne quittèrent guère cette élégante suite.

suitechopin

Alphonse de Lamartine, Niccolo Paganini, Prosper Mérimée et Jean Cocteau séjournèrent également dans cet hôtel.

Ecouter Chopin sur Deezer

Le Grand Hôtel Beauvau

Leave a Comment

Filed under son