Le blues de ma marchande de journaux. S’ajoute au blues qui teinte fortement ce 1178ème numéro de Charlie. Ce numéro des survivants me rend triste. Et que dire des gros dégueulasses qui n’ont pas hésité, fleurant la razzia et la frustration, à le mettre en vente sur le net… Pour me consoler, retrouver Cabu, celui qui dessinait le côté ensoleillé de la rue…